DIAL a déjà publié, dans ses numéros de mai et juin 2020, deux articles dénonçant l’un des mégaprojets de développement du sud-est mexicain du gouvernement d’Andrés Manuel López Obrador, le « Train maya » Dans ce texte fort, publié sur son blog, l’Assemblée des défenseurs du territoire maya Mùuch’ Xiibal [Nous avançons ensemble] prend position de manière argumentée contre le projet. Bacalar est né comme village maya il y a plus de 1500 ans, nos ancêtres mayas les plus anciens ont pris soin (…)
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spoliation / despojo
Artículos
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DIAL 3658
MEXIQUE - Prise de position du village maya de Bacalar sur le projet du Train mayaAssemblée des défenseurs du territoire maya Múuch’Xíimbal
27 mai 2023, mis en ligne par Dial -
DIAL 3562
Contribution au débat sur l’accaparement de terresEduardo de la Serna
23 janvier 2021, mis en ligne par DialDans le prolongement de l’article de Raúl Zibechi sur quarante ans d’occupation de terres en Argentine , ce texte d’Eduardo de la Serna invite à une réflexion plus large sur la question de la terre et celle de la propriété privée. Article paru sur le site Amerindia en la red le 3 novembre 2020.
L’accaparement de terres est un sujet qui remonte fort loin dans l’histoire de l’Amérique. Les communautés indiennes sont habituellement régies par un principe communal : la terre appartient « à (…) -
BRASIL - Em nota, bispos da Amazônia brasileira exigem medidas urgentes dos governos para combater a Covid-19 na região
REPAM
20 mai 2020, mis en ligne par Pedro Picho4 de maio de 2020 - REPAM - Diante do cenário da pandemia de Covid-19, 67 bispos que atuam na Amazônia Brasileira assinaram nota pública divulgada na manhã desta segunda-feira (04). No texto, liderado pela Comissão Episcopal Especial para a Amazônia da Conferência Nacional dos Bispos do Brasil (CNBB), eles convocam a Igreja e toda a sociedade para exigir medidas urgentes do Governo Federal, do Congresso Nacional, dos Governos Estaduais e das Assembleias Legislativas.
De acordo com os (…) -
GUATEMALA - Les multinationales emprisonnent les eaux et les hommes
Gustavo Duch Guillot
5 mars 2018, mis en ligne par Françoise CouëdelSamedi 3 février 2018.
À sa naissance il était libre. Il parcourait les 195 kilomètres d’un cours sinueux, de l’altiplano central du Guatemala jusqu’à la mer. Mais, depuis 2012, il est enfermé, domestiqué. Trente kilomètres du cours du fleuve Cahabón sont emprisonnés dans un canal qui perturbe sa vie et celle du territoire qu’il arrosait. Bernardo Caal, le maître d’école, est lui aussi prisonnier depuis des semaines pour avoir dirigé la lutte contre ce délit environnemental qui affecte (…)