Angélica Montes, de l’université de Cartagena, donne son point de vue sur le conflit colombien. Cette lettre, datée de juin 2000, est parue en version espagnole dans L’Ordinaire latino-américain, juillet-septembre 2000 (IPEALT, Université de Toulouse-Le Mirail). En Colombie, la guerre est une constante à laquelle nous sommes soumis de façon permanente, payant ainsi les erreurs politiques que les stratèges et les intellectuels de ce pays, (ajoutées à l’impuissance, devenue indifférence, de (…)
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groupes paramilitaires / grupos paramilitares
Artículos
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DIAL 2440
COLOMBIE - Quand disparaît l’espoirAngélica Montes
16 janvier 2001, par Dial -
DIAL 2431
COLOMBIE - Des paysans reviennent sur leurs terres après un long exilYadira Ferrer
16 décembre 2000, par DialLes bonnes nouvelles en provenance de Colombie sont trop rares pour qu’on ne les mentionne pas. Alors que l’on estime à quelque deux millions le nombre des personnes déplacées, il faut mentionner que certaines parviennent à se réinstaller sur les terres dont elles avaient été chassées par la guérilla ou les paramilitaires. Tel est le cas des paysans noirs de la région du Chocó, située au sud de la frontière avec le Panama, qui, après un exil de trois ans passé dans des conditions très (…)
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DIAL 2429
MEXIQUE - Population déplacée au Chiapas 1er décembre 2000, par DialDu fait du conflit existant au Chiapas depuis 1994, une partie de la population est déplacée, parfois pour quelques jours, parfois pour des mois ou des années. Les conditions de vie de ces populations sont particulièrement difficiles. Il est à espérer qu’avec l’installation du nouveau pouvoir qui va s’effectuer en décembre une solution sera apportée à ces populations, la seule solution définitive étant le désarmement des paramilitaires, le retrait des forces armées, l’application des Accords (…)
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DIAL 2426
COLOMBIE - Le rapport « nunca más » dénonce le terrorisme d’étatCommission inter-congrégations Justice et paix, le Collectif d’avocats José Alvear Restrepo et le Comité de solidarité avec les prisonniers politiques
1er décembre 2000, par DialLe 28 novembre a été rendu public le rapport intitulé « Nunca Más » (Plus jamais) dans lequel sont recensés les crimes de lèse-humanité commis de 1966 à 1998 dans quatre régions de Colombie, à savoir Meta, Guaviare, Magdalena Medio et Nordeste Antiqueño. Une première estimation portant sur l’ensemble du pays s’élève à quelque 38 000 cas. Conformément aux catégories juridiques internationales, seules des actions menées par les États peuvent être qualifiées de « violations des droits de (…)
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DIAL 2380
COLOMBIE - La paix est possible - Les négociations avec l’Europe devraient inclure un accord préalable sur le respect des droits humainsHector Torres
1er juin 2000, par DialDans une interview accordée à DIAL le 15 mai à Santa Fe de Bogotá, Hector Torres, directeur de la revue Utopías (revue d’inspiration chrétienne, ouverte au secteur populaire) donne son point de vue sur l’évolution possible du conflit qui sévit en Colombie. En dépit d’une aggravation des violences (cf. DIAL D 2375), les conditions lui semblent favorables pour l’établissement de la paix. Au moment où la Colombie s’apprête à négocier une aide européenne dans le cadre du Plan Colombie (cf. DIAL (…)
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DIAL 2354
COLOMBIE - Les populations indigènes, victimes de la guerreUtopias
15 février 2000, par DialDe nombreux exemples montrent que le gouvernement colombien ne respecte pas les droits des peuples indigènes. La guérilla, les paramilitaires et l’Armée assassinent et déplacent les populations indigènes, et violent leurs territoires. Article paru dans Utopias, octobre 1999. Le gouvernement trompe et ignore les communautés. La guérilla, les paramilitaires et les forces armées assassinent et déplacent les indigènes, violent leur autonomie et leurs territoires.
« La politique indigène du (…) -
DIAL 2312
MEXIQUE - Chiapas : discours de paix, politique de forceSIPAZ
1er septembre 1999, par DialCette analyse de la situation au Chiapas émane du SIPAZ (cf. DIAL D 2310). Elle a été publiée en août 1999 dans le Bulletin de cet organisme qui peut être consulté à l’adresse suivante : http://www.nonviolence.org/sipaz/vol4no3. La situation au Chiapas s’est à nouveau dégradée au cours des derniers mois. La recrudescence de la violence à porter sur le compte des forces de sécurité est apparue alors que le mouvement zapatiste avait repris l’initiative et démontré une fois encore son pouvoir (…)
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DIAL 2307
COLOMBIE - Les paramilitaires contre les défenseurs des droits humainsJesús Machado
16 juillet 1999, par DialMouvements de guérilla, armée nationale et paramilitaires représentent trois agents importants - mais bien loin d’être les seuls - de la violence en Colombie. Les paramilitaires constituent l’une des difficultés majeures - mais, là encore, loin d’être la seule - dans les négociations qui commencent à s’esquisser entre les mouvements de guérilla, notamment ces jours-ci avec les Forces armées révolutionnaires colombiennes (FARC), et le gouvernement de ce pays. Les paramilitaires s’en prennent (…)
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DIAL 2299
MEXIQUE - La vie quotidienne dans quelques municipalités autonomes du ChiapasCentre des droits de l’homme “Fray Bartolomé de Las Casas”
1er juin 1999, par DialLa création de municipalités autonomes dans l’État du Chiapas est un processus qui a commencé en octobre 1994. Leur nombre s’élève actuellement à une quarantaine. Ces municipalités sont la réponse donnée par des communautés indigènes à l’incompréhension dont le pouvoir mexicain fait preuve à leur égard en même temps qu’elles représentent la prise en main par ces communautés de leur propre situation et la possibilité d’appliquer leurs propres traditions dans la gestion de leurs affaires. Le (…)
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DIAL 2284
MEXIQUE - Trois ans après leur signature, les accords de San Andrés ne sont toujours pas appliquésJosé Gil Olmos
1er mars 1999, par DialLes accords sur les droits et la culture indigènes, qui ont été signés le 16 février 1996 entre l’Armée zapatiste de libération nationale (EZLN) et le gouvernement fédéral mexicain ne sont toujours pas appliqués. Alors qu’ils avaient ouvert une grande espérance pour la paix, leur non-application par le gouvernement mexicain est devenue l’obstacle majeur à toute poursuite du dialogue et à tout progrès vers la paix. Les effectifs de l’armée fédérale n’ont fait qu’augmenter au Chiapas, avec son (…)